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Catherine Rivoallon, préfiguratrice du nouvel ensemble portuaire
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Le Premier Ministre Edouard Philippe a annoncé le 7 février dernier la nomination de Catherine Rivoallon en qualité de préfiguratrice du nouvel ensemble portuaire axe-Seine. Présidente du Conseil d’Administration de Port autonome de Paris, elle devra d’ici l’automne prochain, selon les termes de sa lettre de mission, poser les conditions de la création d’un établissement public portuaire unique de la Seine. La Ministre des Transports Élisabeth Borne précise que « l’enjeu consiste à conforter la position de ces trois ports (Paris, Rouen et Le Havre) dans les grands flux de transport maritime internationaux en les inscrivant au cœur des chaines logistiques ».

 

Les consultations entamées dès le mois de février avec les équipes dirigeantes des ports se poursuivront dans les prochains mois avec les élus, clients, acteurs économiques et partenaires sociaux.  Avec l’ambition affichée de proposer un projet stratégique unique pour la période 2020-2025, Catherine Rivoallon pourra s’appuyer sur un comité de préfiguration présidé par Valérie Fourneyron et composé de Thierry Tuot, Conseiller d’Etat, Gilles Belier, Avocat, membre du Haut conseil du dialogue social, Emmanuèle Perron, Présidente du Conseil de Surveillance du Grand Port maritime du Havre et Frédéric Henry, Président du Conseil de Surveillance du Grand Port maritime de Rouen.


 

Stéphanie Moussard succède à Aurélie Layet

 

Depuis le 14 janvier, Stéphanie Moussard remplace Aurélie Layet comme chargée de mission Le Havre Smart Port City au sein de la Communauté Urbaine.

 

Stéphanie est titulaire du Master spécialisé Ingénierie et management des « Smart City » des Ponts et Chaussées. Passée par l’expertise environnementale au sein de l’ADEME et du GIP Seine Aval, elle a débuté sa carrière professionnelle dans la gestion territoriale de l’eau au Parc naturel régional des boucles de la Seine normande.

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Les start-up havraises candidates au label French Tech

Le changement de stratégie impulsé par l’Etat en décembre 2018 a permis de mobiliser l’écosystème numérique havrais pour le dépôt d’une candidature 100% locale pour accéder au label French Tech. Initialement regroupées au sein de Normandy French Tech avec leurs homologues de Rouen et de Caen, les start-up havraises visent désormais la labellisation « French Tech Le Havre Normandy ». Une cinquantaine de start-up se sont ainsi réunies, avec, en figure de proue, la dirigeante de S2F Network (R-Marina) Stéphanie de Bazelaire. Leur objectif est de favoriser la transition digitale des PME et l’émergence des start-up locales pour renforcer l’attractivité du territoire. Le dossier havrais actuellement à l’étude pourrait être labélisé avant l’été.

Naissance de la communauté urbaine Le Havre Seine Métropole

 

Depuis le 1er janvier, la communauté urbaine Le Havre Seine Métropole réunit l’ex-CODAH, la communauté de communes Caux Estuaire ainsi que la communauté de communes du canton de Criquetot l’Esneval. L’ensemble regroupe 54 communes pour près de 275.000 habitants. Véritable « porte de Paris vers le monde », la nouvelle intercommunalité veut s’appuyer sur trois leviers d’attractivité : le campus du Havre, le rôle de pôle économique du territoire et la dimension touristique et culturelle.

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Borne et Eau prend ses quartiers sur l’axe-Seine
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HAROPA et VNF (Voies Navigables de France) ont lancé fin 2018 un service de distribution d’eau et d’électricité, dédié aux bateaux de commerce, le long de la Seine entre Paris et Le Havre.

 

Au total, neuf bornes accessibles 24h sur 24h et 7 jours sur 7 sont mises à disposition des bateliers, soit sur abonnement ou par paiement direct. La Seine concentrant plus de la moitié du trafic fluvial hexagonal, l’économie attendue pourrait atteindre 68 tonnes d’équivalent carbone par an et par borne.

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